Fiche : Aya || Terminé ||

Aya | Beauté Sauvage |

Nom: Iconnu.
Prénom: Aya.
Age: Vingt ans.
Nindô: Séduire, afin de tout réussir.
Village: Kumo.

Spécialités et Affinités: Genjutsu & Ninjutsu médicale.

Techniques:

| Ninjutsu medical |

-Irou Jutsu - Chiyute no jutsu
-Irou Jutsu - Shinkyuu Chiyute no jutsu
-Irou Jutu - Chakra Enjintô (scalpel de chakra)
-Irou Jutsu :Dokunuki no jutsu

| Genjutsu |

-Kanashibari no jutsu
-Technique d'interrogation
-Kasumi Juusha no Jutsu
-Magen, Narakumi no Jutsu

Test Rp:(Sujet donnés par les admin): Donc comme vous le comprendrez en lisant mon histoire qui viens au prochain post, je vise Juunin, c'est possible? =)

I. Parce que ton sourire d’enfant naïve à illuminé ma vie.

Je me tenais devant un énorme lac, prêts à en finir. Me jeter au fond de ce liquide pure et transparent, me laisser couler au fond, noyer mes ennuis, mon chagrin, ma solitude… me noyer. A quoi bon vivre si ma vie n’est qu’une succession d’échecs ? A rien. Je n’avais rien réussi, rien, je n’étais pas arrivé à bout, au sommet, là où je m’étais fixé d’être. J’ai passé toute ma vie à travailler, m’entraîner, dur, encore, encore, encore et encore. Je voulais devenir un ninja respecté, admiré, aimé. Je voulais être le spécialiste du genjutsu que tout le monde attendait de voir avec impatience. J’étais doué, talentueux… une seule, de courte durée, misérable, pitoyable erreur de ma part à tout gâché. Fermant les yeux, je me remémorais ce douloureux souvenir afin de me rappeler ce pourquoi j’allais mettre un terme à ma vie.

*FLASHBACK*

- Akira Hanazawa, je vous retire officiellement votre titre de Juunin de Kumo. Pour avoir commis un tel acte, vous êtes banni de ce village. Partez immédiatement.

Un homme était agenouillé, serrant les poings, tête baissée, tandis que le Raïkage s’adressait à lui d’une voix dur et froide. Lorsque ce dernier eut finit de parler, l’homme agenouillé, Akira Hanazawa se redressa brutalement, comme si il venait d’être électrocuté, en s’adressant au RaÏkage d’une voix suppliante :

- Non, s’il-vous-plait, je vous en prie, vous ne pouvez pas me bannir, après tout ce que j’ai fais pour ce village, je suis le médecin spécialiste du genjutsu de Kumo, je me suis dévoué corps et âme à ce village ! Vous allez me bannir juste pour une erreur misérable, un acte instinctif sous la pression de la peur, un acte qui n’a duré que deux minutes ?!

- Ces deux minutes ont coutés la vie à trois de nos précieux ninjas ! Akira, tu as fais preuves d’une lâcheté impardonnable en cédant à la peur et en abandonnant tes co-équipiers à un moment aussi critique qui plus est lors d’une mission de rang S ! Tu mériterais une punition pire, mais pour tous tes actes et services passé, je m’en tiens à te bannir. Vas-t-en.

S’inclinant, les larmes coulants le long de ses joues, il se retourna sans rien dire, quitta la pièce, quitta le village.

*FIN DU FLASHBACK*

Mon nom est Akira Hanazawa. Hanazawa le médecin spécialiste du genjutsu de Kumo. Enfin … ex. J’ai vingt ans, et je viens de foutre ma vie en l’air parce que je ne suis qu’un lâche, moins que rien, égoïste n’ayant pensé qu’à ma petite personne. Je me suis fais bannir de mon village, couvert d’insultes et de mauvaises pensés.
Cela faisait quatre jours que je marchais, marchais, sans aucune destinations précises. J’errais tout simplement, anéanti, déçu. Finalement, je me suis retrouvé en face de ce lac, apparemment, même le destin me conseillé de mettre un terme à cette vie inutile. Démarrant un compte à rebours mentalement je fermais mes yeux… Quelle vie… 10…9…8…7…

- Ba-ka. Baaaaaka ! Bak-bak… aaaa !

Je sursautais, ouvrant brusquement les yeux, quelque chose me tirait par le pan de mon pantalon, en chantonnant d’une petite voix: baka ( imbécile ). Je me retournais et découvris avec stupeur une petite fille, à peine âgée de plus de deux ans surement, marchant et parlant à peine. J’étais fasciné dans la contemplation de la fillette. Elle était sale. De la terre pleins la figure, les cheveux emmêlés, une petite robe blanche, déchirée et pleines de taches de terres, elle était également pieds nus. A première vue, à en croire son état et sa maigreur, elle était abandonné, affamée. Même avant son abandon, elle ne semblait pas être l’enfant la plus gâtée au monde. Je la regardais, elle avait un coté sauvage, elle était belle. Brune, aux longs cheveux ondulés, de grands yeux rouge qui me surprirent, une peau laiteuse, elle ressemblait à une poupée de porcelaine. Elle m’adressa un sourire franc, remplit de vie. Son sourire me serra le cœur, je la regardais, elle, son état, son malheur visible, mais elle souriait. Elle faisait face à la vie, pleins d’envie, de courage. Elle souriait. Elle me souriait, moi qui comme un lâche, allait encore une fois fuir, face à mes problèmes. J’avais honte. C’est ainsi que tout changea en moi. Elle et son sourire me sauvèrent. Je décidais alors de rester en vie, de la sauver à son tour. Je la prie sous mon aile, l’appelant par la première impression qu’elle m’avait faite, Aya, beauté sauvage.

II. Parce que tu es devenue ma fille, tu deviendras ce que je n’ai jamais été.

Je voulais savoir qui elle était, qui sont ou étaient ses parents. Pourquoi était-elle seule ? Mais malheureusement, toutes ces informations m’étaient impossibles à savoir, du moins pour l’instant. Et puis je me disais que c’était mieux de ne pas savoir. Aya ne parlait pas, elle ne savait pas parler, la seule chose qu’elle disait, c’était baka, et elle ne semblait pas connaître la signification de ce mot. Lorsque je l’avais rencontrée, elle était dans un piteux état, abandonnée depuis au moins plusieurs jours, affamée. Mais elle ne se plaignait pas, elle souriait. Elle était si pleine de vie, si naïve, elle me suivit sans imposer de résistante lorsque je la pris par la main pour l’emmener avec moi. Nous marchions pendants des heures, puis au bout de trois heures environ, nous sommes arrivés dans un petit village, dans lequel nous nous sommes installés. Je finis par trouver rapidement un travail, certes cela n’allait pas faire de moi un homme riche, mais c’était assez pour suffira à mener une vie agréable pour nous deux, Aya et moi. Je prenais soins d’elle, la nourrissait, l’élevait, lui apprenais tout ce qu’elle devait savoir, notamment à lire et écrire, compter, etc.. Je m’occupais d’elle comme si elle avait été ma propre fille. Je voulais faire d’elle ce que je n’avais pus être. Un ninja médecin, spécialisé en genjutsu, reconnu partout dans le monde, craint, admiré, envié, jalousé, aimé. Elle sera Aya, la meilleure de toute. Encore meilleure que moi. Elle ne sera pas seulement la meilleure des kunoichis, mais aussi des shinobis.

C’est ainsi que les années passaient et nous menions une vie paisible et banale. Aya était une fille exemplaire, s’appliquant dans toutes les tâches, intelligentes, elle apprenait vite. Elle était docile et m’obéissait, malgré son fort caractère et sa tendance à se plaindre et à se moquer de tout. J’étais d’ailleurs surpris, j’étais le seul qui elle écoutait. Bientôt, ses huit ans pointèrent le bout le leur nez, je décidais qu’il était temps que je lui apprenne, les bases, tout ce que devait savoir un ninja. Elle ne refusa pas, elle en été même enchantée, avide d’apprendre, elle était d’ailleurs douée.

*FLASHBACK*

- Concentre-toi Aya. Tends l’oreille, écoute attentivement, trouve moi, ne me rate pas. A trois. 1…2…3 !

On n’entendit que quelques feuilles d’’arbres remuer, rien de plus. Aya était debout, en position d’attaque, prête à agir, un kunaï dans chaque main. Elle avait grandi, elle était encore plus belle. Elle s’arrêta de respirer, ne bougeant plus que la tête et les yeux. Puis fermants les yeux, elle se concentra, puis se murmura à elle-même, dans un souffle, inaudible :

- Deux pas à gauche.

Un sourire malicieux apparut au coin de ses lèvres. Rouvrant brusquement les yeux, elle fit deux pas, ou plutôt bond car ses pas étaient plus des petits sauts gracieux, à gauche et en pleins lors du dernier saut, fit un demi-tour sur elle-même et lança les Kunaïs entre deux arbres. L’un fut évité par Akira, l’autre se planta dans un pan de la manche de sa chemise, l’accrochant à l’arbre. Aya apparut de l’autre côté de l’arbre, derrière Akira, en mettant un kunaï sous son cou, un sourire triomphant accroché aux lèvres :

- Akira-chan ?... Je t’ai eu !

Pouf ! Akira se volatilisa d’un coup. C’était … un clone. Le vrai Akira était en fait derrière elle, et il posa à son tour, son propre Kunai sous le cou de la jeune fille, et dis, en prenant une voix dur et autoritaire, se forçant à ne pas rire :

- C’est Akira-sensei, pas chan !

Aya fit la moue, posant sa main sur le Kunai qui menaçait dangereusement son cou, elle l’abaissa, faisant une moue triste et renfrogné, elle fit face à Akira, ronchonnât :

- Ce n’est pas juste ! Tu triche, moi je ne sais même pas faire de clone. Hum… Akira-ch…Sensei, si tu m’apprends, j’te pardonnerais, promis !

*FIN DU FLASH BACK*

Je lui apprenais à viser, à se servir d’un kunaï, d’un shuriken, à malaxer son chakra, marcher sur l’eau etc… Tout ce que devais savoir un ninja débutant. Elle était douée, fournissait un travail acharné. Parfois, lorsqu’un exercice lui posait problème, elle veiller toute la nuit et s’entrainer rudement. C’était surtout le cas pour la concentration de chakra dans son poing, pour rendre le coup plus fort. Je la regardais faire, avec fierté, elle allait y arriver, c’était une certitude.

III. Parce qu’il est temps que je te lègue mon savoir.

Elle devait avoir 11 ans, elle maitrisait déjà bien toutes les bases requises. Mais maintenant, il était temps qu’elle apprenne ce qui ferait d’elle un bon ninja. C’est alors que je décidais de lui enseigner le ninjutsu médical, ainsi que le genjutsu. Elle était bonne élève, et semblait en âge d’en apprendre plus, et apparemment, j’avais raison, car elle s’en sortait bien. Elle était merveilleuse.

* FLASHBACK *

Il y avait du sang par terre, beaucoup de sang. Aya était agenouillée dans cette marre d’un rouge luisant, elle tremblait de tout ses membres, semblant sur le point de pleurer. Se tenait, ou plutôt était allongé, devant elle un chat, blessé, perdant tout son sang petit à petit. Aya regardait le chat horrifiée, jusqu’à ce qu’Akira ouvre la bouche, et lui lance d’une voix dure :

- Tu as l’intention de le laisser mourir ? Tu te fiche que cette pauvre bête y reste ? Agis Aya, je ne t’ai pas appris tout ca pour que tu reste figée en pleurant lorsque le moment d’agir arrive ! Soigne-le Aya. Tu veux que cette bête meure ? Oui c’est ce que tu veux…

Aya cessa de pleurer, mais tremblant encore, elle lança un regard meurtrier en direction de son sensei. Souffla un coup, reprenant courage, elle plaça ses deux mains au dessus de l’animale, se concentrant, elle fit jaillir son chakra vert de ses mains, les tenant au dessus de la bête. La plaie de l’animale se refermait doucement, tandis que la fillette souriait. L’animal remuât, puis bougea doucement, se remettant peut à peu. L’oubliant, Aya poussa un cri de joie en se levant, elle tira la langue à Akira en disant :

- Haha, t’as vu que j’y arrive !

*FIN DU FLASHBACK*

Et elle m’impressionnait de jour en jour. Elle arriva même à maitriser le jutsu de niveau supérieur de la techniques de soin en moins de temps que mettait à apprendre la technique de soins de bases un ninja de son âge. Grace à sa rapidité d’apprentissage, je fus rapidement en mesure de lui apprendre à guérir d’autres blessures, l’extraction de poison par exemple. Et comme vous vous en doutez, elle s’en était sortie comme un chef. Bientôt, je décidais de lui apprendre à maitriser son scalpel de Chakra, elle était agile, rapide, donc bonne au corps à corps, ce qui l’aidera à utiliser cette techniques. Et encore une fois, j’avais raison.

* FLASHBACK *

Aya avait encore et encore grandis. Elle était plus grande, plus fine, Plus le temps passait, plus ses traits murissait, et plus sa beauté se faisait voir. Elle était debout, sur ses gardes, de ses deux mains se dégageait un flux vert, son chakra, elle utilisait les scalpels de Chakra. Elle tourna la tête, regardant autour d’elle, tendant l’oreille. Lorsqu’elle vit trois Kunaïs foncer sur elle, grâce à ses scalpels, et réussit à les parer. Elle sentit une présence derrière elle, se retournant, elle vit Akira qui fonçait sur elle, prêt à l’attaquer, elle esquiva de justesse, elle tomba à terre, ce n’était certes pas en sa faveur mais elle en profita, et attrapa de ses deux mains au niveau des chevilles de son sensei au même moment ou elle tomba à terre. Elle avait toujours les scalpels activés, et elle venait de lui découpé quelques tondons apparemment, car ne pouvant tenir debout, il tomba à terre.

- Sacré gamine ! Tu m’as eu. Bon maintenant si tu pouvais guérir les dégats…

Akira regardait Aya, attendant qu’elle agisse, celle-ci se contenta de croiser les bras, prenant un air hautain elle dit :

- C’est qui la gamine ? Non je ne peux pas Akira-chan…

- C’est pas drôle et c’est Akira-sensei, pas chan. Soit tu me guéris, soit, plus jamais d’entrainements et pas de nouvelle techniques !

La jeune fille s’exécutait immédiatement. Voilà la menace qui marchait sur elle. Astucieux… Mais cruel. S’agenouillant, elle guérissait les blessures de son maître.

* FIN DU FLASHBACK *

J’étais… surpris. Non, j’hallucinais. Elle venait d’avoir 14 ans, et pourtant, elle maitrisait déjà à merveille toutes les techniques que je lui avais enseigné… des techniques de type médicales. Vraiment, il n’y avait plus de doutes, elle était une surdouée.

IV . Parce que maintenant que tu as quinze ans, tu es prêtes mentalement pour le genjutsu.

Elle avait un mental d’acier, et un charme hors du commun. Elle n’avait certes qu’environ quinze ans et pourtant elle se rapprochait plus de l’image de la femme que de la petite adolescente encore innocente. Sa silhouette s’affinait, ses courbes se dessinaient, son visage murissait. Et elle en avait conscience. Je lui enseignais le genjutsu qui, tout comme le ninjutsu medical, elle maitrisa assez rapidement. Mais je décidais de lui rajouter un petit plus, ce qui ferait d’elle unique. Elle possédait un atout, elle était une femme, qui plus est avec beaucoup de charme. Et d’ailleurs, elle savait charmer. Ca allait devenir une de ses forces majeures. Surtout en ce qui concerne le genjutsu. Alors le jour où elle maitrisa enfin la techniques kanashibari no jutsu, celle qui paralyse de frayeur celui qui regarde son adversaire dans les yeux, je voulus tester ces capacités.

* FLASHBACK *

- Cette clé… Tu la veux non ? Alors viens la récupérer.

Akira venait de prononcer ces mots. Il était à moitié affalé sur le canapé, tenant entre ses doigts une petite clé en or. Aya le regarda, et un sourire malicieux apparut au coin de ses lèvres. Elle s’approcha du canapé, alla s’assoir dessus. Enfin … se mit plutôt à quatre pattes dessus, et s’approcha doucement de son maître en disant d’une voix séductrice et amusée :

- Donne la moi Akira …

Akira semblait déconcerté, il était pourtant préparé à l’avance, il savait que la situation allait être semblable, mais il perdit tout ses moyens. Que lui arrivait-il? Il avait pourtant élevait cette jeune fille depuis... depuis au moins treize ans. Mais elle dégageait tant de charmes, son regard était si pénétrant que ca en troublerait surement sa propre mère. Aya était penchée sur lui, son visage à peine à quelques centimètres du siens. La jeune fille posa sa main sur sa joue à elle, juste en dessous de son œil, puis tirant sur sa peau, laissant voir plus amplement son œil gauche. Akira avait baissé sa garde, il avait fait l’erreur d’y plonger son regard, voila pourquoi il était saisi de tremblements, ne pouvant bouger, subissant mentalement sa plus grande frayeur. Aya s’écarta doucement, récupérant la clé au passage, elle fila dans la chambre de son maître, et ouvrit à l’aide de la clé une boite qui contenait un parchemin. Rédigé par Akira lui-même, ce parchemin contenait tout ce qu’il y avait à savoir sur une techniques genjutsu, la technique d’interrogations.

* FIN DU FLASHBACK *

Ainsi, je lui apprenais plusieurs techniques de genjutsu, tout en les mettant en pratiques en fonctions de ses atouts. Elle s’en sortait bien. J’étais fier d’elle.

V. Parce que la vie en a décidée ainsi.

Deux ans plus tard. J’allais mal, j’étais vraiment très malade, assez pour y rester. Allongé dans mon lit, ma fièvre était déjà montée à 42. Je respirais avec beaucoup de mal, le souffle rauque, des larmes de fièvres me brouillaient la vue, je grelottais. J’apercevais Aya, agenouillée à côtés de mon lit, ma main dans la sienne, elle avait enfouie sa tête dans mes couvertures, je l’entendais sanglotais. Elle voyait mon état, elle avait compris, elle savait que c’était bientôt fini pour moi. Mon cœur se déchirait rien qu’en pensant au fait que j’allais la laisser toute seule. Je rassemblais le peut de force qu’il me restait, retirer ma main de la sienne, puis la posait sur sa tête. Elle releva doucement la tête, les larmes ne s’arrêtant pas de couler me regarda dans les yeux. Je décidais qu’il était temps de lui faire part de tout ce qu’elle devait savoir. Je prenais sur moi, usant de mes dernières forces, d’une voix brisée, je parvenais à lui murmurer :

- Kumo… Mon village… J’étais… un juunin à Kumo, le médecin spécialisé en genjutsu. J’ai été… lâche, j’ai lors d’une mission… laissé tomber mes co-équipiers pour sauver ma peau… j’ai été… banni. Tu es… celle qui m’a redonnée… le courage de vivre. Vas à Kumo… Ne leur parle jamais de moi… devient une grande kunoïchi, soit respectée… puissante. Rends-moi… encore plus fier que je ne le suis déjà… Aya Hanazawa.

VI. Akira-chan… Pourquoi tu mettais des « Parce que » à chaque début de titre ?

Trois ans ont passés. Mon nom est Aya, et j’ai vingt ans. Je suis entrain d’accomplir les rêves de mon maître, je suis entrain d’honorer son souvenir. S’il me regarde… j’espère qu’il est fier de ce que je fais. Il a fait tant pour moi, il a été et sera la personne la plus importante pour moi, toujours. J’ai suivis ces paroles, à l’heure qu’il est je suis à Kumo. Je suis même Juunin. J’ai intégrée le village, faisant part au Raïkage mon envie d’intégrer leur rang en tant que ninja, et que je voulais servir leur village. Ils ont mis du temps à m’accepter, fait passer des tests pour savoir si je n’étais pas une ennemie. Finalement, ils ont finis par m’accepter. Ayant passé dix ans à suivre un entrainement rudes, j’ai rapidement décidée de passer tout les examens requis pour monter en grade. Et je n’ai pas échouée.

Sensei… regardez-moi, je suis Aya, ninja médecin, spécialiste du genjutsu.

Et voilà, fiche terminée, j'espère que c'est suffisant, fais un peu à la va vite vers la fin, mais je suis pressée de commencer. uxu

Test RP: Une mission de ton choix ou tu as sauver tout une équipe grace a tes talent médicaux.

# Fais-tu cela pour ce pays, pour ce village? Fais tu cela pour ta satisfaction personnelle? Fais-tu cela pour la gloire, pour le pouvoir? Ou alors pour une autre personne? Oui, tu le fais pour une autre personne, tu le fais pour Akira. Aya… Pourquoi fais-tu tout comme lui? Pourquoi continues-tu tout ses projets? Pourquoi tu transforme ta vie en la sienne? Pourquoi vivre pour lui? #

Parce que lui, il a vécu, survécu, pour moi. J’étais dans une forêt, assise par terre, adossée contre un arbre, les yeux levés vers le ciel. Le ciel était pur, dans un mélange de gris perle et d’un bleu pâle. C’était si propre, rien ne venait gâché la beauté du ciel, tout était clair, harmonieux… en ordre ? J’aimerais tant que mes pensées, non ma vie, soit comme ce ciel. Mais bon, on ne peut pas tout avoir. Tant pis, je survivrais. Même si ma vie avance vite, je parviens tout de même à réussir tout mes objectifs. Il faut dire que je n’ai encore jamais rien ratée de ce que j’ai entrepris. D’ailleurs ce matin même, je venais d’être promue Juunin. Si ca c’est pas un bel objectif accomplie, que veut le monde? Ou plutôt… Qu’est-ce que je veux? Avancer encore et encore… Enfin, je crois.

Poussant un soupir, je fermais les yeux, respirant doucement et lentement, l’air frais m’engouffrais, semblant me rafraîchir les idées. Ca faisait du bien. Ré-ouvrant les paupières, je regardais autour de moi, en repensant à l’annonce que j’avais entendue il y a quelques heures. Kumo avait un nouveau Raïkage, et celui-ci souhaiter voir tout les ninjas un par un. J’imagine que j’allais devoir aller le voir. Bordel, dire que c’était mon jour de « congé », ou du moins, l’un des rares jours ou je n’étais pas en mission. Et voilà que je me tape une visite chez le Raïkage, encore pire qu’une visite médicale. Mais bon après tout, c’était une obligation alors j’allais bien devoir le faire. J’avais horreur des obligations… Encore, les ordres en mission servent à quelque chose… mais allez boire un thé chez le Kage en faisant la causette, très peu pour moi.
Soupirant de nouveau, je me disais que j’allais devoir m’y faire, après tout j’étais un peu comme une chienne, devant obéir au moindre ordre du Kage ou supérieur. Quelle vie, il faut donc être chien avant d’être tout puissant? Je me demandais si le Kage avait lui aussi était un chien à un moment de sa vie. Surement. Donc la prochaine fois que je recevrais un ordre, je devrais aboyer?

Après tant de sarcasme, d’ironie, de mauvaises pensées, je terminai mon petit-quart d’heures de plaintes - en pensée du moins -. Oui j’ai toujours était assez rebelle, moqueuse, et la seule à qui j’obéissais sans broncher, c’était à Akira.
Je me relevais, j’avais besoin de marcher, de bouger un peu, sinon j’allais finir par moisir en dessous de cet arbre, très jolie fin n’est-ce pas? Bref, je marchais, assez lentement, regardant le paysage autour de moi, pensive, me préparant à aller voir le Kage, lorsqu’un homme apparut brusquement devant moi. Je ne baissais jamais totalement ma garde, alors autant dire que la crise cardiaque était loin. L’homme était un ninja-messager, et apparemment, il était là pour me pourrir la vie avec une autre mission.
! Bingo ! Sans un mot il me tendit un parchemin soigneusement enroulé, puis me dis :

- De la part du Raïkage, préparez-vous à partir immédiatement, c’est un ordre.

Et là je fais quoi j’aboie? Non, en fait je me contentais d’un simple signe de tête comme quoi j’avais compris, puis je pris le parchemin tandis que l’homme se volatilisa aussi vite qu’il était apparut. Je dépliait le parchemin, et lisait ce qu’il y avait à l’intérieur.

« Mission de rang A : Rattraper les traîtres.

Deux de nos Juunins viennent de trahir le village. En effet, en plus des informations importantes qu’ils connaissent déjà, ils ont également dérobés des rouleaux de parchemins contenant des informations secrètes concernant Kumo et aussi des plans de construction du village. Les deux Juunins sont les frères Makino, ils sont spécialisés dans le ninjutsu, et la plupart de leurs techniques sont de type raïton et katon. Ils semblent se dirigez vers l’est, ne les laissez pas s’enfuir, il faut à tout prix les arrêtez. Ramenez les morts ou vifs, le plus important, c’est que les parchemins restent intact.

Vous avez à votre disposition une équipe composé de trois Chuunin, ils vous attendront à la sortie du village. »

Refermant le parchemin, je ne perdis pas de temps. La mission était importante, le village en dépendait. Je me mis à courir en direction de la sortie du village en me demandant pourquoi n’avais-je aucun autre Juunin dans mon équipe. Après tout, les frères Makino n’étaient pas à prendre à la légère. Surement un manque de ninja.
Arrivée sur place, je vis mon équipe, composés de trois jeunes hommes, semblant dans la même tranches d’âges que moi. Je ne les connaissez pas, j’espérais qu’il me serait plus une aide qu’un poids.
Tandis qu’il s’inclinaient respectueusement, je ne me tracassais pas avec toutes ses sottises, et leur demandait de me lister leurs techniques, ce qu’il firent. Puis j’enchaînais:

- Nous n’avons pas de temps à perdre, nous partons immédiatement en direction de l’Est. Morts ou vifs peut importe, si l’occasion s’en présente, tuez-les immédiatement. Je me place à la tête du groupe, toi là, le gringalet, juste derrière moi, tu surveille la gauche, le mec en rouge, derrière le gringalet, tu surveille la droite, et toi là, tu ferme la marche. Départ à trois. Un…Deux… Trois!

Je m’éclipsait, et sautait d’arbres en arbres en directions de l’est, tandis que l’équipe me suivait tout en respectant la formation. Nous nous dépêchions, d’après nos informations, les traitres n’étaient pas très loin. Au bout d’une dizaine, nous sentions que nous nous rapprochions. J’étais inquiète, certes mes Co-équipiers étaient Chuunins, mais ils ne semblaient pas être très qualifié pour cette mission. J’étais sur mes gardes, guettant le moindre bruit, la moindre odeur, le moindre piège.
Et j’avais raison d’être sur mes gardes, car deux minute plus tard, quelque chose craqua derrière moi, une dizaine de Kunaï foncèrent sur nous. Activant mon scalpel de Chakra j’empêchais ceux qui se dirigeaient vers moi de m’atteindre, me retournant je vis que la plupart l’avaient évité. Seul le dernier, trop occupés à regarder nerveusement derrière lui avait légèrement baissé sa garde et oublié de regarder à côtés, avait était touché au niveau du bras Poussant un juron, je m’arrêtais, mes scalpels de chakra activé, et constatais avec horreurs que les deux autres Chuunins se ruaient sur leurs Co-équipiers blessé, j’hurlais :

- Bordel vous faites quoi ?! Laissez-le, ne baissez pas votre garde, il ne faut pas s’arrêter où ils vont nous échapper !

Mais c’était trop tard, ils avaient baissés leur garde, et apparemment, les frères Makino étaient cachés, et nous attaquèrent de nouveau. Il lancèrent tout deux la technique de la boule de feu suprême katon, chacun sur visant un Chuunin. Le gringalet était rapide, il réussit à l’éviter, malheureusement, celui qui était vêtu de rouge ne fut pas assez rapide, et fut touché en pleins fouet et tomba à terre. Je ne me souciai pas de lui pour l’instant, je ne pouvais aller voir son états en laissant les deux autres face au deux Juunins.
Je compris à ce moment là qu’apparemment, c’était la première mission de rang A des Chuunins qui faisaient partie de mon équipe, j’allais devoir vider la moitié de mon chakra car apparemment, mes Co-équipiers n’allaient pas être d’une grande aide à l’heure qu’il est. Faisant les signes nécessaires très rapidement, je marmonnais : kasumi Juusha no jutsu, tout en faisait signe à mes Co-équipiers de se cacher rapidement, il s’exécutèrent. Il ne restait plus que moi sur le terrain, ainsi les ennemis, et aussi une dizaines de clones qui apparurent. Me mêlant aux clones, je ne prenais pas vraiment part au combats. Je repérai très vite les Juunins qui se battaient contre mes clones, mais cela ne servait strictement à rien. A chaque fois qu’ils en tuaient un, deux autres apparaissaient. Au bout de quelques minutes, je voyais que l’adversaire commençait à fatiguer. Il était un peu plus affaibli, il était temps d’utiliser un autres jutsus, reformant de nouveaux signes de mains : Magen, Narakumi no jutsu.
Les deux Juunins s’immobilisèrent poussant un cri, ils tombèrent, se tortillant au sol, j’hurlais au deux Chuunins encore capable d’agir :

- Finissez-en avec eux !

Tandis que à bout de souffle après avoir utilisée tout ce Chakra, je fonçais vers celui qui avait été touché par le Katon. Il respirait encore, utilisant mon Chiyute, j’entrepris de soigner ses blessures.
Puis, me relevant tandis que celui-ci reprenait peut à peu ses esprits, je regardais dans la directions des ennemie, puis bouche-bée, je crus halluciner. Mes Co-équipiers étaient des incapable. L’un des Juunin venait de réussir à résister au genjutsu. J’accourus sur le champs de bataille, … au mauvais moment. Je reçue une attaque katon au niveau de la jambe, tombant à terre. Je poussais un cri de douleur. J’essayais de me relever tant bien que mal lorsque je constatais avec stupeur mais satisfaction que le gringalet et celui vetu de rouge s’unissait afin de combattre de Juunin. Et il semblait avoir l’avantage. Je les regardais porter le coup de fatal, et constatait avec horreur que l’ennemie attaqua au même moment. Il fut certes touché, mais le gringalet lui fut touché par une technique raïton du Juunin et tomba à terre. Le Juunin s’effondra également, mort. Son frère était également mort, les deux Chuunins s’étaient rapidement débarrassés de lui.
Le combat venait de s’achevait, celui qui fermait la marche se remettait doucement de ses blessure, l’un des Chuunin était légèrement blessé au bras, et le gringalet lui, grièvement blessé. J’étais également blessée à la jambes. Le point positif: mission accompli, l’ennemie était neutralisé.
Je me trainais en grimaçant de douleurs vers le gringalet, qui ne bougeait plus, allongé par terre, faisant un effort colossal, j’usais de mes dernières forces afin de le guérir. Je réussie bien sur, mais quelques secondes après, m’effondrai sur le sol, respirant avec beaucoup de peine, je saignais beaucoup.
Le chuunin ayant été touché par le katon s’était déjà remis, il accourait vers moi, tandis que le mec en rouge aidait son Co-équipier.

- Sempai ! Sempaï, que dois-je faire? Dites moi quoi faire!

- Prends de… ma sacoche le bandage, enroule bien fort autour de la blessure… Et… rentrons…

Il s’exécuta. Bientôt, tout le monde était sur pieds, seul l’un d’entre eux était blessé, et encore, ce n’était qu’une petite blessure au bras.
L’un d’entre eux, je ne me souviens plus lequel, me mis sur son dos, car je n’étais plus en mesure de marcher, et les forces me manquaient également, tandis que les deux autres récupéraient les parchemins. Ainsi, nous retournâmes au village. Mission accompli, tout le monde était sain et sauf… enfin presque. Je fus conduit à l’hôpital, où l’on me soigna. Heureusement, je m’en sortie indemne.

[ Voilà pour le test RP, pas terrible, je me suis plus appliquée dans l'histoire. Bon, j'espère que pour le test, les PV et PC n'étaient pas obligatoires, parce que s'il fallait trouver des techniques pour tout le monde, faire les comptes... silent

]

Le test RP n'est pas au top, mais au vue de l'histoire je t'accorde Juunin. Smile

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